Webperf battle : start-ups vs services publics

Webperf battle : start-ups vs services publics

Après avoir mesuré les performances délivrées aux utilisateurs des e-services publics, la société QUADRAN, spécialisée dans la supervision et l’optimisation des performances web, a benché les sites internet de quelques-unes des sociétés phares de l’écosystème start-up français : Deezer, Lendix, Doctolib ou encore Drivy sont ainsi passées à la moulinette. Les Web Performance de ces Start-ups « stars » sont-elles meilleures que celles des services fournis par l’Etat français ? Le verdict n’est pas forcément celui attendu ! La Webperf, un enjeu clé pour les start-ups Le principal enjeu pour les start-ups « françaises ou non » réside dans l’atteinte d’une taille critique le plus rapidement possible afin de neutraliser les éventuels concurrents, suivant le précepte « winner-takes-all ». Comment s’y prendre ? En offrant une expérience optimale aux utilisateurs, ce qui passe principalement par le fait de proposer une plateforme web et/ou mobile ergonomique, intuitive, fluide et performante. La notion de confiance est prépondérante dans le domaine de l’économie numérique. Un site rapide et fluide donne une bonne image et rassure l’internaute, qui va plus facilement se lancer et utiliser le service en question. Des start-ups performantes ? Pour récapituler, la Web Performance a un impact sur le SEO, le taux de rebond, le taux de conversion et la fidélisation des internautes sur le long terme. Les dix start-ups benchées, choisies sur la base des fonds levés en cette année 2016 et l’importance du canal numérique dans leur business model, ont-elles activé ce levier pour accélérer leur croissance ? QUADRAN a mené l’enquête ! Avec un début d’affichage moyen de 2,1 secondes, un Speed Index de 3,5 secondes, une fin d’affichage de 5,8 secondes et seulement 20% des sites étudiés...
L’échec du Black Friday : expérience utilisateur en péril !

L’échec du Black Friday : expérience utilisateur en péril !

Black Friday : 15 millions de Français ont réalisé des achats à cette occasion, c’est 3,7 millions de Français supplémentaires par rapport à 2015. Mais seulement 71% du chiffre d’affaires escompté a été réalisé en France ! La faute à une mauvaise anticipation des pics de trafic et une expérience utilisateur désastreuse sur certains sites e-commerce. Les distributeurs traditionnels et e-marchands ne se sont pas privés pour multiplier les annonces bien en amont de l’événement, s’assurant ainsi davantage de visibilité auprès des consommateurs. Qui n’a pas reçu au moins 1 annonce sms ou mail ? Un chiffre d’affaires bas lié à des expériences utilisateurs mauvaises C’est seulement 71% du budget envisagé pour ces promotions qui a été dépensé. De nombreux consommateurs n’ont pas trouvé les articles qu’ils cherchaient ou la remise n’était pas assez forte pour les convaincre, mais il existe une raison bien moins quantifiable à cet échec. Une expérience utilisateur très insuffisante sur la plupart de nos sites marchands et un taux de rebond record expliquent également ce désengagement de la part des consommateurs : des pages inaccessibles ou des sites indisponibles, comme en témoigne cette chaine de magasins américaine située à New York qui a vu son site quasi indisponible toute la journée. Le Black Friday à la sauce française n’a pas encore pris toute son ampleur, en comparaison avec les Etats-Unis. Mais cela ne devrait plus tarder, faut-il mieux s’y préparer ? Web marketing : 1 / DSI : 0  Reprenons l’exemple de cette célèbre chaîne de magasins américaine située à New York, MACY’s particulièrement connue pour ses actions de grâce dans les rues de New-York. Avec un CA de 25 milliards...