RUM based testing – TESTS SMART (intelligent en anglais)

RUM based testing – TESTS SMART (intelligent en anglais)

La plupart des organisations modernes savent à quel point il est nécessaire de faire des tests sur les environnements de production. C’est d’autant plus important pour les sociétés d’e-commerce qui doivent gérer un nombre croissant d’événements : les soldes, les saisons, les promotions et des évolutions permanentes de leurs sites. Tous ces événements amplifient les risques, mais il n’est évidemment pas nécessaire d’attendre ces pics d’audience pour se soucier des performances des services et du manque à gagner. Les testeurs aguerris savent à quel point la génération de tests peut être chronophage et parfois inefficace. Ce qui, au fil du temps, tend même à limiter ces tests et à diminuer progressivement la qualité des livraisons jusqu’aux inévitables crashs de production ! Tester pour se rassurer c’est bien, faire des tests SMART* c’est mieux ! RUM (Real User Monitoring) based testing permet de faire moins de tests et de les rendre bien plus pertinents. La collecte massive des usages des internautes au travers d’outils d’analytique comme Google Analytics et appYuser , associée à l’expérience des experts permettent de définir des plans de tests SMART « pertinents, moins coûteux et toujours d’actualité ». Les business gagnent en planning, les risques d’incidents diminuent fortement, ce qui in fine permet de générer plus de trafic, plus de satisfaction et de ventes. *SMART (intelligent en anglais) mais aussi pour se souvenir que chaque test doit être Specific Measurable Achievable Relevant and Time-Bound (en français =>Spécifique Mesurable Atteignable Réaliste Temporellement défini) Produire des tests représentatifs du comportement réel des internautes Prédire le comportement des internautes et en déduire des gammes de tests est une méthode qui a fait ses preuves. Mais...
Benchmark web performance des services publics

Benchmark web performance des services publics

e-services publics français : parmi les meilleurs mondiaux ! A l’heure de la dématérialisation, de plus en plus de services sont accessibles en ligne. Si le secteur privé a été précurseur, l’Etat français et les différentes collectivités ne sont pas en reste et ont eux aussi pris le virage du numérique, comme l’indique cette étude réalisée par l’ONU. Elle classe en effet les e-services français en tête de peloton au niveau mondial, en léger recul par rapport à 2014 puisque la France a été rétrogradée de la 4ème à la 10ème place. EGDI, EPI et OSI : les critères de classement des e-services publics Parmi les critères permettant d’établir ce classement, on retrouve l’E-Government Development Index (EGDI) qui mesure la quantité et le périmètre des e-services publics, l’E-Participation Index (EPI) dont l’objectif est d’évaluer le degré d’adoption des services en ligne par les citoyens, ou encore l’Online Service Index (OSI) qui examine leur facilité d’utilisation par un citoyen lambda. En France, le site www.service-public.fr est notamment salué, tant pour la quantité et la qualité des informations qui y sont présentes que pour son ergonomie. On regrette : la Web Performance non mesurée Grande oubliée de cette étude, la Web Performance. S’il est en effet heureux que les e-services se développent partout dans le monde, les performances web sont indissociables de la qualité de service délivrée aux utilisateurs. Que penser en effet d’un site dont le temps de chargement se chiffrerait en dizaines de secondes et qui connaîtrait des interruptions de service fréquentes ? La qualité des réseaux en France étant disparate selon que l’on se situe en ville ou dans une zone rurale, en France métropolitaine...