appYuser INSIGHT pour app mobile

appYuser INSIGHT pour app mobile

On mesure l’expérience utilisateur sur mobile ! Cet été, notre équipe de R&D a planché sur une adaptation d’appYuser pour mesurer la performance web et l’expérience utilisateur sur les mobiles. Pourquoi ? Actuellement il n’y a quasiment pas d’outils de monitoring RUM (real-end-user) pour les applications mobiles sur le marché. Pourtant le nombre d’applications ne cesse d’augmenter ! Si vous êtes développeur, vous aurez peut-être pu faire quelques tests en laboratoire mais il est très difficile aujourd’hui de connaître le ressenti réel des utilisateurs de vos applications mobiles. C’est la nouvelle promesse d’appYuser ! Le développement sur mobile : app hybrides et natives Il existe 2 types d’application sur mobile : les applications hybrides et les applications natives. Les applications hybrides embarquent le navigateur du mobile. Elle sont développées en Javascript. Le code est alors compatible avec les 2 plateformes les plus répandues du marché : Android et iOS. Les applications natives, plus performantes car optimisées pour la machine, nécessitent une version spécifique du code pour chaque plateforme. Le code sera développé en Java ou Kotlin pour Android et en swift pour iOS. Compatibilité d’appYuser avec les applications mobiles : appYuser est compatible avec les applications hybrides depuis ses premières versions.  La nouveauté c’est qu’appYuser est maintenant compatible avec les applications Android natives et le sera prochainement pour iOS. Compatibilité appYuser Application hybride Application native Android Oui Oui iOS Oui En cours Qu’offre appYuser aux applications Android natives ? appYuser fournit aujourd’hui 2 fonctionnalités : Mesurer le ressenti utilisateur par rapport aux 3 types de démarrage (Cold, Hot et Warm) Mesurer le ressenti utilisateur lorsque votre application lance des...
Les nouvelles métriques de performance web pour l’expérience utilisateur

Les nouvelles métriques de performance web pour l’expérience utilisateur

L’objectif est d’analyser les nouvelles métriques disponibles de performance web et de voir comment on peut les utiliser pour estimer l’expérience utilisateur. Aujourd’hui la seule mesure de fin de chargement d’une page ne suffit pas pour évaluer réellement l’expérience utilisateur, elle permet au mieux de réaliser des tests techniques. Pour évaluer finement ce que l’internaute a réellement vécu et la perception qu’il a eue lors d’une navigation sur un site, il faut être capable d’analyser d’autres « moments » bien plus significatifs pour l’expérience utilisateur au niveau des performances web. Pour être pertinente cette analyse ne peut se faire que sur le poste client, dans un contexte réel de navigation. C’est pour ces raisons que les nouvelles métriques de performance web se mesurent au niveau du « User », pour analyser la progression réelle de l’affichage, la prise de dialogue avec l’internaute « début d’affichage », le moment où il peut interagir avec la page et si les interactions « clic sur un bouton » sont frustrantes ou pas. Quelles sont les métriques actuelles pour évaluer la progression d’affichage et l’expérience utilisateur associée ? Il en existe suffisamment pour évaluer de façon pertinente si l’utilisateur a eu une bonne ou mauvaise expérience de navigation. La difficulté c’est que ces différentes métriques peuvent être récupérées soit grâce au navigateur de l’utilisateur dans son contexte réel (solutions RUM*) soit depuis des sondes sur des serveurs dédiés et des contextes limités (solutions synthétiques*). Identifions les métriques de performance web disponibles et leur lien avec l’Expérience Utilisateur ; indépendamment des solutions de monitoring : Expérience utilisateur Métriques associées Début d’affichage « Prise de contact » First...
Vitesse sur la Google Search Console : utile ou non ?

Vitesse sur la Google Search Console : utile ou non ?

Vous l’avez peut-être déjà remarqué, depuis octobre 2019, l’onglet vitesse a fait son apparition sur la Google Search Console. Cet onglet liste les pages « lentes » de votre site. C’est une métrique indispensable pour le SEO car comme nous le savons, les pages trop lentes sont pénalisées en termes de référencement naturel. Dans l’article d’aujourd’hui, nous détaillerons le fonctionnement de ce nouveau module et nous vous en proposerons une analyse. Que contient le rapport vitesse de la Google Search Console ? Google définit trois vitesses de page : lente (en rouge), moyenne (en orange) et rapide (en vert). L’écran principal du module de vitesse présente le nombre de pages dans chacune des catégories en fonction du temps. Une page lente sur mobile ne l’est pas forcément sur desktop. Les données sont donc réparties dans deux graphiques différents. En cliquant sur « Ouvrir le rapport », vous pouvez accéder à une vue plus détaillée des données. Ce rapport vous permet de filtrer selon la catégorie de vitesse sur laquelle vous souhaitez avoir plus de détails. Notamment, vous pourrez identifier la raison pour laquelle chacune de vos page est considérée comme lente. Comment Google mesure la vitesse de vos pages ? Google se base sur deux mesures pour qualifier vos pages. Le First Contentful Paint, FCP : temps entre l’instant où l’internaute essaie d’accéder à l’URL et l’instant où le navigateur affiche la première image. Le First Input Delay, FID : délai entre la première interaction de l’internaute (clique sur un lien ou sur un bouton) et le moment où le navigateur répond à cette interaction. Le tableau suivant permet ensuite de catégoriser vos...
L’influence de la publicité sur l’expérience utilisateur – 5 conseils

L’influence de la publicité sur l’expérience utilisateur – 5 conseils

D’après une étude menée par la fondation Mozilla, les internautes qui utilisent un bloqueur de publicité ont un taux d’engagement 50% supérieur aux autres. De manière générale, l’internaute associe rarement publicités en ligne et bonnes performances de navigation. Dans un article précédent, nous évoquions l’impact de la performance web sur les revenus publicitaires. Intéressons-nous aujourd’hui à la question inverse : l’impact de la publicité sur les performances web. Nous listerons les différents problèmes d’expérience utilisateur amenés par de la publicité mal intégrée. Puis nous donnerons quelques conseils techniques permettant de les contourner. Publicité en ligne et expérience utilisateur Single point of failure (SPOF) Le SPOF désigne  une dépendance externe critique de votre site. En d’autres termes, votre site ne peut pas fonctionner correctement sans cette dépendance. Si celle-ci est localisée sur un domaine disponible et performant alors il n’y aura pas vraiment de problème. Cependant, si le serveur en question tombe, les conséquences peuvent être dramatiques. Si en plus, il s’agit d’une ressource bloquante, alors l’internaute attendra devant une page blanche pendant une vingtaine de seconde ! Il est important de noter que ce problème n’est pas applicable uniquement à la publicité mais en fait à tous les domaines tiers que vous utilisez. Origine des contenus Les contenus publicitaires proviennent de sources très variées. Même si vous n’incluez qu’un seul script de publicité, celui-ci peut faire appel à des tiers eux-mêmes appelant des tiers, etc. Il sera finalement très difficile pour vous de prévoir à l’avance les contenus qui seront finalement chargés sur votre site. Cela pourra provoquer entre autre : Des ralentissements sur le chargement des pages Une...
Comment améliorer votre TTFB pour accélérer votre site web ?

Comment améliorer votre TTFB pour accélérer votre site web ?

Lorsqu’on cherche à optimiser la performance d’un site web, le réflexe courant est de s’intéresser à la structure des pages. Mes pages contiennent-elles des scripts bloquants ? Le navigateur des internautes garde-t-il bien les ressources statiques en cache ? Mes contenus statiques sont-ils mis à disposition via des CDN ? Même si toutes ces questions sont très importantes, il ne faut pas oublier qu’avant de revenir sur le poste client la requête de l’internaute traverse plusieurs étapes. Le TTFB, Time To First Byte est une valeur temporelle qui englobe ces étapes. L’objectif de cet article sera de vous présenter cette métrique, son rôle dans le web moderne et surtout comment la réduire pour améliorer les performances web de vos applications. Qu’est-ce que le Time To First Byte ? TTFB est l’acronyme de Time To First Byte. Il se traduit en français par « Temps pour le premier octet ». C’est par définition la durée entre le clic de l’utilisateur et l’arrivée du premier octet sur son navigateur. Ce temps est ainsi divisé en 3 parties : Le temps que met sa requête à arriver jusqu’au serveur. Le temps que met le serveur à traiter la requête et à générer une réponse. Le temps que met la réponse à arriver sur le poste client, aussi appelé régulièrement la latence. Cette métrique exclut donc la complexité du rendu HTML sur le poste client. Elle permet ainsi de concentrer les efforts d’optimisation sur les aspects serveurs et réseaux. Google recommande une valeur sous 200ms pour le TTFB. Dans la plupart des cas, on observera plutôt entre 500 et 800ms. Le Time To First Byte...
Comment choisir son CDN ?

Comment choisir son CDN ?

Vous avez besoin forcément d’un CDN ! Longtemps considérées pour beaucoup comme trop onéreuses, il existe aujourd’hui des solutions CDN diverses et pour tous les budgets. La fonction de base de ces solutions étant de distribuer les contenus en proximité des utilisateurs, elles s’avèrent indispensables pour les sites à audience internationale. Mais elles présentent aussi de nombreux autres avantages : disponibilité accrue des contenus, déchargement des serveurs origines, sécurité améliorée… Bref, c’est un excellent moyen d’améliorer l’expérience utilisateur de vos services web. Cependant, il existe énormément de CDN différents et il peut être difficile de s’y retrouver. Voici le guide de tout ce que vous devez savoir pour bien choisir votre CDN. Voir aussi : CDN & Web Acceleration Prérequis : connaitre vos utilisateurs et leur niveau de satisfaction Avant de commencer à comparer les différents CDN du marché, vous devez vous assurer que vous connaissez bien vos utilisateurs. En particulier, vous devez connaitre la répartition géographique de votre audience. Cela vous permettra de faire une estimation plus précise de la tarification. De plus, il est primordial de superviser le niveau de performance avant et après la mise en place du CDN. Vous pourrez ainsi vous fixer des objectifs réalistes et mesurer les améliorations. Pour ce faire, rien de mieux qu’une solution de Real User Monitoring ! Voici un exemple issu de l’application appYuser qui fournit une bonne partie des informations que nous venons d’évoquer. Copie d’écran tirée d’appYuser : le niveau de satisfaction par pays Les critères de sélection d’un CDN Le prix : Estimer précisément le coût mensuel d’un CDN peut rapidement s’avérer compliqué. En général, un...