Présidentielle 2017 et site web : les premiers ne sont pas forcément ceux que l’on croit

Présidentielle 2017 et site web : les premiers ne sont pas forcément ceux que l’on croit

Alors que Nathalie Arthaud arrive loin derrière dans les sondages, son site web est quant à lui une réussite en termes de performances web. A l’inverse de Jean-Luc Mélenchon et Benoit Hamon ! Véritable vitrine de leur campagne, le site internet est aujourd’hui un outil incontournable pour les candidats à la présidentielle. Les citoyens-internautes peuvent y apprendre davantage sur le candidat, son programme, les événements à venir et même devenir acteurs de la campagne en adhérant en ligne par le biais d’un formulaire. En plus d’être un vecteur de communication formidable, le site internet reflète aussi en quelque sorte la personnalité du candidat. La charte graphique, les images, la structure ne sont pas choisies au hasard. En effet, tous ces éléments participent à la e-réputation du candidat, tout comme sa fluidité de navigation. Un site qui serait lent pourrait participer à une détérioration de l’image du candidat.  De ce fait, le site web se doit d’être irréprochable sur tous les aspects. Au-delà du visuel, les performances techniques sont-elles au rendez-vous ? Classement des 11 sites web des candidats à la présidentielle Quadran, cabinet de conseil, expert de la supervision et de l’optimisation des performances techniques de sites internet, a mené une étude afin d’analyser les performances techniques des sites des onze candidats à la présidentielle 2017. Les tests ont été réalisés par des outils propres à Quadran (des robots pilotés à distance, situés à Paris), du 8 au 13 mars (période qui comprend un week-end et quatre jours de la semaine). Ils ont été réalisés à la fois dans des conditions de connexion dites « raisonnablement mauvaises » et des...
Transformation DevOps et Performance Web

Transformation DevOps et Performance Web

D’ici 2018, le Gartner prévoit qu’une entreprise sur deux aura mis en place une solution de Release Automation pour faciliter sa transformation DevOps. Le concept DevOps Le concept DevOps consiste à rapprocher les équipes de DEVeloppement et OPérationnelleS, afin de faciliter et d’automatiser les mises à jour logicielles de plus en plus fréquentes sur les environnements de production. L’objectif principal est de réduire significativement les interminables cycles de livraison dans les organisations traditionnelles en silos, et l’objectif sous-jacent mais pas moindre est de maintenir le même niveau de qualité des livraisons. Le cycle DevOps : L’intégration continue Dans une démarche classique d’intégration continue, les équipes projets développent les solutions, elles passent ensuite la main à leurs confrères de l’exploitation en fin de cycle pour prendre en charge le déploiement en tenant compte des contraintes de production. Ces métiers sont bien différents et dans la pratique on note souvent des intervenants avec des profils très distincts. Automatiser le déploiement des applications, c’est d’abord définir des processus dépendant de l’entreprise voire des organisations internes. Il faut ensuite s’assurer qu’opérationnellement tous les acteurs de l’intégration continue suivront bien les règles de base de la gestion de configuration : Définir les packages à livrer, Stocker les livraisons avec la documentation associée, Tester les livraisons sur les différents environnements (intégration, validation, production), Fournir des versions gérées en configuration pour les équipes de tests (techniques ou fonctionnelles). Revenons maintenant à notre solution de Release Automation, en conclusion elle devra permettre d’automatiser ces processus de livraisons qui jusque-là étaient supportées uniquement par les équipes OPS. La Performance Web Dans notre univers de l’analyse des performances applicatives, cela...
e-commerce : des KPIs business au service de votre chiffre d’affaires

e-commerce : des KPIs business au service de votre chiffre d’affaires

Nouvelle fonctionnalité dans notre outil de mesure de la performance web appYuser : des KPIs orientés business corrélés avec les performances techniques et le ressenti utilisateur. L’intérêt principal de cette démarche est de connecter DSI et métier pour coordonner les activités de l’entreprise autour des performances techniques de ses services web. L’impact des performances web sur le chiffre d’affaires En 2010, une étude d’Akamai déclarait que 57% des visiteurs quittent une page après trois secondes de chargement. Aujourd’hui les internautes sont encore plus exigeants et l’expérience digitale doit être instantanée. Les enjeux sont nombreux : augmentation du taux de conversion, amélioration de l’image de marque, réduction du taux de rebond, meilleur référencement naturel ! Et les géants du web l’ont très bien compris. Amazon par exemple est arrivé à la conclusion que pour chaque baisse de 100ms (de temps de chargement moyen sur ses pages) résultait une augmentation de 1% de son chiffre d’affaires ! Et bonne nouvelle, il n’est pas nécessaire d’être Amazon pour que ce ratio s’applique. En effet, nous avons remarqué que les résultats sont comparables pour des sites e-commerce français. On comprend alors l’importance de monitorer en parallèle ces deux types de métriques. Un nouveau module orienté KPI business Concrètement, l’objectif de ce nouveau module d’appYuser est de proposer des tableaux de bord pour les responsables métiers. Ces tableaux de bord livrent des indicateurs sur les performances commerciales de l’entreprise, qui, comme nous l’avons vu précédemment, dépendent dans grand nombre de cas directement des performances techniques. Les KPIs sont paramétrables par les métiers en fonction des métriques qu’ils jugent pertinents de monitorer : le taux de rebond, le taux...
Tour-opérateurs, leurs performances web mesurées : FRAM au top, Verdié peut mieux faire

Tour-opérateurs, leurs performances web mesurées : FRAM au top, Verdié peut mieux faire

Un « tour-opérateur » (de l’anglais tour-operator), aussi connu sous le nom de « voyagiste », est une entreprise qui, en regroupant différentes prestations de ses partenaires/fournisseurs (compagnies aériennes, hôteliers, restaurateurs, autocaristes, guides, etc.), est en mesure d’offrir une expérience touristique unique à ses clients, moyennant un prix tous services compris. Aujourd’hui, les tour-opérateurs doivent faire face à la concurrence liée à la globalisation de leur activité sur Internet : ils sont de plus en plus nombreux à proposer leurs services en ligne. Même s’ils conservent leur mode de distribution historique (les agences de voyages à qui ils reversent une commission), leur site web est leur principale vitrine et source de chiffre d’affaires. La satisfaction de leurs internautes est donc primordiale ! C’est pourquoi Quadran a décidé d’effectuer une étude comparative de la performance web de leurs sites. La supervision web comme clé de succès La performance web de leur site internet est un élément critique qui impacte directement leur chiffre d’affaires. En effet, les internautes sont de plus en plus exigeants en termes de vitesse de chargement des pages. Ces clients potentiels, rapidement frustrés par une lenteur toute relative, n’hésitent pas à quitter le site. Pourquoi perdre deux précieuses secondes quand on peut simplement passer au prochain résultat proposé par Google ? Et même lorsque ces internautes décident de rester sur le site malgré sa lenteur, le nombre de pages qu’ils visitent se voit fortement réduit, augmentant ainsi le redouté « taux de rebond ». D’autant plus que la très grande majorité des internautes ne prend pas la peine de se plaindre. C’est pourquoi, sans outil de supervision efficace, le responsable web peut ne pas être au...
Webperf battle : start-ups vs services publics

Webperf battle : start-ups vs services publics

Après avoir mesuré les performances délivrées aux utilisateurs des e-services publics, la société QUADRAN, spécialisée dans la supervision et l’optimisation des performances web, a benché les sites internet de quelques-unes des sociétés phares de l’écosystème start-up français : Deezer, Lendix, Doctolib ou encore Drivy sont ainsi passées à la moulinette. Les Web Performance de ces Start-ups « stars » sont-elles meilleures que celles des services fournis par l’Etat français ? Le verdict n’est pas forcément celui attendu ! La Webperf, un enjeu clé pour les start-ups Le principal enjeu pour les start-ups « françaises ou non » réside dans l’atteinte d’une taille critique le plus rapidement possible afin de neutraliser les éventuels concurrents, suivant le précepte « winner-takes-all ». Comment s’y prendre ? En offrant une expérience optimale aux utilisateurs, ce qui passe principalement par le fait de proposer une plateforme web et/ou mobile ergonomique, intuitive, fluide et performante. La notion de confiance est prépondérante dans le domaine de l’économie numérique. Un site rapide et fluide donne une bonne image et rassure l’internaute, qui va plus facilement se lancer et utiliser le service en question. Des start-ups performantes ? Pour récapituler, la Web Performance a un impact sur le SEO, le taux de rebond, le taux de conversion et la fidélisation des internautes sur le long terme. Les dix start-ups benchées, choisies sur la base des fonds levés en cette année 2016 et l’importance du canal numérique dans leur business model, ont-elles activé ce levier pour accélérer leur croissance ? QUADRAN a mené l’enquête ! Avec un début d’affichage moyen de 2,1 secondes, un Speed Index de 3,5 secondes, une fin d’affichage de 5,8 secondes et seulement 20% des sites étudiés...